Avec la rentrée, recommencent les cours et les beaux projets comme obtenir son permis de conduire. Si l’examen pratique est jouable dès lors que l’on sait faire avancer une voiture, l’histoire est bien différente lorsqu’il s’agit du code de la route. Voici un bon plan, pour bien se préparer à l’examen…

En 1804, le code de la route n’existait pas encore. Seule obligation imposée par Napoléon Bonaparte aux automobiles : roule sur la partie de droite de la chaussée. La circulation au centre de la route est encore tolérée puisque seule Paris accepte la circulation à droite. De nombreuses nouvelles règles voient le jour au fil des années jusqu’à aboutir à la création du Code de la Route, le 27 mai 1921 ! Depuis ce dernier ne cesse d’évoluer, au point de devenir la bête noire des apprentis conducteurs.

Très complexe, l’examen actuel du Code de la Route se présente sous la forme d’un QCM composé de 40 questions illustrées par des photos et des vidéos qui sont divisées en 10 thèmes distincts. L’objectif de ces évolutions permanentes est évidemment de rendre la route plus sûre et de s’adapter à notre époque et ses dangers. Ainsi de nouvelles notions compliquées ont fait leur entrée au « programme Â» de l’examen tels que les gestes de premiers secours, la mécanique élémentaire ou encore la prise de conscience des risques. La tâche est ardue pour intégrer autant de notions, mais des sites sont capables de donner un sacré coup de pouce à nos futures automobilistes.

Réviser le code de la route sur internet

Une fois n’est pas coutume, si l’on cherche un bon plan, c’est sur internet que l’on trouve ce que l’on cherche. Et dans le cas présent, il est possible de réviser le code officiel 2021 grâce à un test gratuit du code de la route sur des sites comme Codeclic. Vous pourrez vous entrainer sur un test en ligne composé de 40 questions. Ces dernières sont évidemment conformes à celles posées lors de l’examen théorique. Ce QCM en plus d’être un excellent entrainement avant l’examen officiel, est également une bonne jauge de votre niveau : vous devez obtenir minimum 35 bonnes réponses sur les 40 questions pour obtenir le Graal.

Attention : lors de l’examen – comme sur le test en ligne – chaque mauvaise réponse ou chaque réponse manquante vous fait perdre un point. Vous n’avez donc le droit qu’à 5 fautes donc entrainez-vous bien.

Explication des 10 thèmes du code

• – 10 questions sur le conducteur qui doit savoir anticiper, communiquer et être en mesure de conduire.
• – 5 questions sur les autres usagers. La sécurité de nos routes passe par l’attention que l’on porte aux autres véhicules, aux piétons, aux deux roues, etc…
• – 4 questions sur la circulation routière. Partie évidente de l’examen et celle à laquelle on pense instantanément : la signification de chaque panneau de signalisation, le marquage au sol, les limitations de vitesse, les priorités ou encore les différentes règles de circulation !
• – 4 questions sur la mécanique et les équipements de la voiture afin de savoir utiliser son véhicule de manière optimale et de savoir l’entretenir.
• – 4 questions sur la route pour savoir s’adapter aux conditions météo dangereuses, au type de voie.
• – 3 questions sur la sécurité du passager. Le conducteur n’étant pas l’unique personne à bord, il est nécessaire qu’elle sache assurer la sécurité de ses passagers et utiliser les dispositifs d’aide à la conduite.
• – 3 questions sur prendre et quitter son véhicule. Une partie en lien avec la conduite : savoir s’installer à bord de son véhicule, mais aussi démarrer et s’arrêter en toute sécurité.
• – 3 questions sur les notions diverses afin de connaître ses responsabilités et les sanctions en cas d’infraction au Code de la Route.
• – 3 questions sur l’environnement. Ce nouveau thème est destiné à adopter une conduite éco-responsable pour réduire la pollution due à la circulation privilégier le vélo en ville, utiliser un GPS et le limitateur de vitesse pour des trajets plus efficaces, bien entretenir sa voiture, etc..
• – 1 question sur les premiers secours. L’objectif est de limiter la gravité d’un accident.